Portraits de blogueuses

Le Boudoir du Marais pose pour PDB

par Tode le 18 sept, 2009, dans la catégorie Photos, Story

La semaine avait été chargée, pourtant j’avais hâte d’aller travailler un samedi. En effet, le temps était enfin venu de faire le shooting des filles du Boudoir du Marais. Mon fidèle assistant Damien, la talentueuse maquilleuse Isa et moi-même avions rendez-vous dans Paris avec Zhooey et Mademoiselle Quincampoix en début d’après-midi, dans un lieu qui allait nous réserver bien des surprises.

buttes_chaumontNous étions déjà pratiquement à la mi-septembre mais le temps était toujours clément, ce qui avait eu pour conséquence d’avoir avec nous une foule assez dense dans le parc des Buttes Chaumont. Mais Zhooey savait comment se rendre là où nous pourrions faire notre séance photo tranquillement. Elle sortit de sa poche un plan qu’elle avait dessiné elle-même et ce plan n’était pas sans me rappeler les dessins que me faisait mon petit beau-frère. Pour info ce dernier a fait son entrée cette année en CE2. Attention, loin de moi l’idée de critiquer le plan de Zhooey, sachez que mon petit beauf’ dessine très bien.
“C’est par là !” s’écriait notre brunette, alors nous marchâmes, marchâmes, et comme nous ne reconnaissions pas les lieux par rapport au plan, nous demandâmes à trois personnes qui avaient l’air de faire une sorte de chasse au trésor de nous aider. Ces braves gens, devant notre sens de l’orientation version “reverse” nous indiquèrent la bonne direction (c’est-à-dire à 50m de notre point de départ initial) et nous donnèrent même un plan photocopié du parc.

tunnelNous arrivions enfin sur les lieux du shooting, le long des voies ferrées de la Petite Ceinture. Un tunnel sombre avec une lumière au loin attisait notre curiosité, c’est alors que Zhooey s’écria: “Allons de l’autre côté du tunnel !”. Et nous marchâmes, marchâmes… Le problème est que le tunnel était bien plus long que nous le pensions et surtout affreusement sombre. Damien avait une petit lampe porte-clé afin que nous sachions où nous posions les pieds et autant vous dire qu’il y avait toutes sortes de choses jonchées sur le sol… C’est alors que Mademoiselle Quincampoix sortit de sa valise une lampe frontale. Incroyable… Je me demandais alors si cette valise pouvait contenir plein de choses, un peu comme le sac de Sport Billy (les trentenaires comprendront)…
J’avais pris la tête du cortège car mes compagnons d’expédition commençaient à montrer des signes de “très grosse flippe” (et je pèse mes mots). Quand soudain quelque chose devant moi me fit m’arrêter aussi sec : des bruits horribles de rats se défoulant sur quelque chose me glaça le sang. Je laissais échapper un “oh purée mais qu’est-ce que…” et je me retournais pour dire à mes compagnons de faire demi-tour. Ces derniers ne m’avaient pas attendu et avaient déjà fait une dizaine de mètres en marche arrière. Une sorte de 1-2-3 Soleil inversé, dans le noir…
Nous rebroussâmes alors chemin (en marchant vite, très vite) et les préparatifs pour le photoshoot pouvaient alors commencer.

Isa fit comme à son habitude un travail impeccable. Les filles se laissaient maquiller avec une satisfaction qui nous donnait presque envie à Damien et moi de nous faire maquiller. Presque. Juste un peu de crayon, très léger, très discret… Mais je m’égare.
Nous mettions en place la lumière avec Damien, étudions les plans possibles… Je trouve cela très enrichissant lorsqu’on est photographe de travailler avec un réalisateur. Nos visions sont réellement complémentaires et Damien m’aida beaucoup sur ce shooting.

La séance dura près de deux heures et nous ne le vîmes pas passer. Les filles furent parfaites, Damien nous faisait des blagues du même acabit que celles de Sophie, l’assistante photo du shooting de Fliz, nous passâmes un excellent moment tous ensemble. Et même les (très gros) chiens, les jeunes, les gamins, et les (très gros) rats ne purent gâcher cet après-midi si agréable…

Merci à Damien pour son soutien et sa bonne humeur, à Isa pour sa patience légendaire et son professionnalisme, et à Mademoiselle Quincampoix et à Zhooey pour leur disponibilité et leur extrême gentillesse.

Le Boudoir du Marais

Mademoiselle Quincampoix et Zhooey pour le Boudoir du Marais

13 commentaires suite...

FLIZBoutik, le blog mode d’une globe-trotter

par Tode le 08 sept, 2009, dans la catégorie Story

flizboutikJeudi 21 mai, le jour de l’Ascension. J’avais rendez-vous avec Fliz, du blog Flizboutik. Ce qui m’avait immédiatement plu sur le blog de Fliz était l’accroche : “on dit “OUI” au chic and cheap !”. Ce blog avait été pour moi une véritable bouffé d’air frais dans le monde de la blogo mode car Fliz n’hésite pas à mettre en avant des tenues et accessoires relativement bon marché, sans toutefois oublier de nous parler de prêt-à-porter et de haute couture.

Nous avions rendez-vous dans un café du XVIIe arrondissement et à mon grand regret il ne s’agissait pas d’un Starbuck (spécial dédicace à Mesdames EG et VV). A mon arrivée Fliz était déjà là, je m’empressais alors de la rejoindre à la table où elle s’était installée. Nous commençâmes alors notre discussion par l’Asie et là, autant dire que Fliz en connait un rayon ! Etant un grand fan du Japon j’avais de très nombreuses questions à poser à cette blogueuse globe-trotter car la comparaison avec les pays qu’elle avait traversé m’intéressait grandement. Elle me parla donc de Singapour, de son climat, de sa population, de la vie là-bas pour une femme qui pouvait culminer les jours de talons hauts à plus d’1m80… Car il faut savoir que Fliz est grande. Disons que pour moi, toutes les filles qui mesurent plus d’1m70 peuvent être qualifiées de grandes. Attention, cela ne veut pas dire que je mesure 1m70 hein…
Mais revenons-en à notre rencontre. Autant dire que nous avions pas mal de point commun avec Fliz, mais le summum fut atteint quand je me rendis compte que Fliz connaissait très bien le créateur d’un site que je suivais beaucoup à l’époque où je ne jurais que par mon iPaq. Le monde est décidément vraiment petit… Au sujet de l’iPaq, je tiens à dire que cette machine était à l’époque quelque chose de vraiment géniale. Imaginez-vous, avoir son agenda tout le temps sur soi et comble du bonheur, pouvoir synchroniser avec son ordinateur portable en Bluetooth… Top classe.
Fliz, qui était très enthousiaste quant à Portraits de blogueuses, me précisa toutefois que le shooting devrait se faire si possible durant l’été car même si elle n’avait pas encore les dates en tête il semblait quasiment sûr que elle et sa petite famille allait poursuivre leur route de globe-trotter pour se rendre du côté des Etats-Unis d’Amérique. “No problemo” lui lançais-je alors…

Premier samedi de septembre. Le “no problemo” résonnait encore dans ma tête alors que je me dirigeais vers le lieu où j’avais rendez-vous avec mon assistante photo improvisée et son ami réalisateur (a.k.a Damien, mon pote d’enfance responsable de Fac Attack Returns!) qui pour le coup allait filmer une partie du shooting de Fliz. J’avais passé le mois d’août à faire de la plongée et à buller sur les plages de Corse mais là il fallait vraiment que je m’active concernant les shootings pour PDB.
C’est Fliz qui avait sonner la charge en m’envoyant sur FB un petit message très explicite : “On part pour les US dans deux semaines en fait, t’as du temps pour le shooting ?”. Vu que j’avais déjà planifié un certain nombre de séances sur septembre, il ne me restait que ce premier samedi. J’avais bataillé pour trouver une maquilleuse et fort heureusement pour moi Isa Z. était disponible. Après avoir donc récupérer mon ami et son amie, nous nous dirigeâmes vers Versailles pour aller chercher notre maquilleuse puis direction Chinatown avec 1h de retard s’il vous plaît. On est artiste ou on ne l’est pas. Bon j’avais quand même prévenu Fliz de partir plus tard de chez elle hein, je ne suis pas non plus un mufle.
Arrivé à Chinatown, je présentais la petite troupe à Fliz et nous nous mîmes au travail et ce, dans la bonne humeur grâce aux blagues potaches du réal’ et de l’assistante photo. Isa nous prouva qu’elle était une excellente make-up artiste et Fliz se plia à mes nombreux “on la refait”. Le shooting fut relativement court mais vraiment très plaisant, il était assez drôle de voir notre petite troupe déambuler dans les rues au milieu des passants qui se retournaient tous sur Fliz en marmonnant quelque chose qui devait sûrement dire “ohhhhhhh ils font des photos, c’est pour quelle magazine ?”. Je dis “sûrement” car ils parlaient tous chinois, ma déduction est donc liée à ma perception de leur langage corporel. Bref. Après plus d’1h30 de prises de vue, il était temps pour nous de nous séparer afin de vaquer aux occupations du samedi soir (i.e. barbecue, crémaillère, etc.).

Ce shooting ne fut pas facile techniquement car la lumière était sans cesse changeante mais l’équipe fit un très bon travail et encore une fois, tout se passa dans une très bonne ambiance ce qui facilita vraiment les choses. La photo de Fliz pour l’exposition Portraits de blogueuses ne sera pas dévoilée avant l’année prochaine mais en attendant voici une image issue de notre shooting.

Fliz

Un grand merci à Fliz pour avoir accepté de poser pour PDB (see you in the US!), à Isa pour sa patience, à Dams et à sa chère et tendre pour leur disponibilité et leur bonne humeur.

4 commentaires suite...

Les vacances sont finies…

par Tode le 31 août, 2009, dans la catégorie Hors sujet

…mais elles étaient bien sympa !

Je n’étais jamais allé en Corse et cela faisait quelques années que ma chère et tendre me vantait les charmes de l’Île de beauté. Je dois avouer que j’avais quelques à priori mais quand je suis arrivé là-bas, la claque… Cette île porte bien son nom, les paysages y sont tout simplement magnifiques !

Le Cap Corse

Le phare de Bonifacio

View from our room...

Diving

Mérou

Breakfast for two

Bon maintenant c’est la rentrée, et j’ai déjà quelques shootings de prévu… PDB power !!

9 commentaires suite...

Kitty des Bijoux Acidulés

par Tode le 24 juil, 2009, dans la catégorie Story

Ferrari 308 GTSJ’avais rendez-vous avec des amis non loin de chez moi. Je dis “des amis” mais on va dire qu’il s’agissait plutôt de simples connaissances avec qui il m’arrivait de traîner. En effet, nous étions en septembre, j’étais relativement nouveau dans le coin et même si les personnes avec qui je passais du temps avaient l’air sympathique, j’étais plutôt du genre méfiant.
J’arrivais donc sur le lieu de rendez-vous et je saluais mes “amis”.
- Bonjour !
- Bonjour, tu viens avec nous ? On va faire un tour en voiture.
- Ok mais c’est moi qui conduis.
- Oh non tu as conduit la dernière fois non ?
- Euh non…
J’ai toujours été un grand acteur. Une manière comme une autre de dire que je peux mitonner comme un arracheur de dents si besoin est et là, c’était pour le moins vital.

Nous nous dirigions vers la voiture quand soudain je la vis. Elle était là, devant moi, portant une petite robe à motif écossais. Kitty. Ses yeux d’un bleu profond ne laissaient personne indifférent et mes amis ne purent s’empêcher de laisser s’échapper un “woah elle est jolie…”. Mais vous savez ce que c’est, entre les filles et les voitures, le choix est vite fait. Surtout à notre âge. Nous avons donc continué notre chemin et par bonheur il restait trois véhicules de libre, chose habituellement quasi improbable.
- Je prends la rouge !
- Non c’est moi !
- Non je l’ai vu le premier !
- Du calme les enfants, vous conduirez chacun votre tour !
C’était Mme Salade, la directrice de l’école, qui venait d’intervenir. Nous décidions alors que la couleur importait peu et nous nous répartissions en trois groupes de deux : un qui conduisait, sans mettre les pieds sur les pédales, et l’autre qui poussait. C’était un des grands jeux favoris à l’école maternelle du quartier, les courses autour du petit bac à sable. Et en ce matin de septembre 1981 je ne me doutais pas que mon chemin allait croiser celui de Kitty à maintes reprises.

Jem and the hologramsFévrier 1988. L’hiver bat son plein. A cette époque nous avions encore de vraies saisons, avec de la neige en hiver et du beau temps tout l’été. Et là autant dire qu’il était évident que nous étions en hiver. Encore quelques mois et  je m’apprêtais à faire le grand saut, celui du passage en 6e. Le collège… Lieu de tous les dangers, celui où les grands avaient la voix qui devenait toute bizarre et où les filles gloussaient tout aussi bizarrement. Les filles, parlons-en des filles… Je ne savais pas pourquoi mais depuis quelques temps je les voyais différemment. Enfin, seulement une ou deux dans ma classe hein. Parce que les filles ça va cinq minutes, déjà qu’on doit se coltiner leurs Jem et les Hologrammes entre Dragon Ball et Ken le Survivant le mercredi après-midi au Club Do’, on ne va pas non plus perdre notre temps à essayer de comprendre ces créatures pour le moins étranges.
Kitty était dans ma classe. Toujours avec son amie Olivia. Mais moi c’était plutôt Julia qui m’intriguait. Bref, je passais tous les jours à côté de Kitty sans vraiment faire attention à elle, courtoisie qu’elle me renvoyait volontiers.

Printemps 1990. Je tenais la main de Julia. La Julia qui m’intriguait quand j’étais petit. Oui parce que là j’étais grand, un 5e. Et même qu’avec mon ami Coco on poussait les 6e dans les escaliers. Qu’est-ce que c’est petit un 6e… Je tenais la main de Julia donc. Près d’une vingtaine d’années plus tard Julia me disait sur Facebook que j’avais été le premier garçon à qui elle avait tenu la main.
Kitty était dans le même collège que moi. Elle était toujours avec son amie Olivia. Nous menions chacun notre vie de notre côté, d’autant plus qu’elle avait un an de moins que moi. Un 6e ! Oh la jeunette…

Rentrée des classes 1994. J’aurais dû passer le bac cette année scolaire là mais mes professeurs en avaient décider autrement deux ans plus tôt. Je faisais donc ma rentrée en 1ere ES. Je regardais accompagné mes amis, avec le calme que peut avoir un jeune homme de 17 ans, la liste des personnes (lire “la liste des filles”) de ma classe.
- Oh regarde Tode, tu as Kitty et Olivia dans ta classe… Tranquille mec, tu te fais pas chier !
Kitty. Cette fille avait été dans ma classe ou du moins dans le même établissement scolaire que moi depuis mes 3-4 ans et je me rendais soudainement compte que je ne lui avais jamais adressé la parole.
Quelques mois plus tard, et après lui avoir faire une cour acharnée (en fait je crois que c’est elle qui m’a kiffé et pourchassé… oh je ne sais plus, c’était il y a longtemps vous savez) je sortais avec elle.

Les bijoux acidulésJuillet 2009. Je suis au Canada pour le boulot et ma Kitty est à la maison, travaillant sur sa prochaine collection de bijoux. Il me tarde de rentrer la retrouver… Je dois faire des photos ce week-end au Lake Louise si le temps le permet et ensuite, back to Paris.
Après le lycée nous nous étions perdu de vue malgré le fait que nous ayons un temps fréquenté la même université. Mais même après des années sans nouvelles de l’autre nos chemins étaient encore amenés à se croiser puisqu’aujourd’hui nous vivons ensemble.

Je crois que je ne remercierai jamais assez ma prof principale de m’avoir fait redoubler la seconde…

18 commentaires suite...

Dyns, une fille déjantée

par Tode le 17 juil, 2009, dans la catégorie Story

Street LuxeJ’avais attendu plus de 40 minutes une blogueuse qui n’est finalement jamais arrivée. Je crois que c’est la première fois de ma vie qu’on me posait un lapinou. A moins que mon esprit ait occulté de lui-même des précédents rabbits… Bref. Autant dire que je me rendais d’un pas loin d’être léger à mon rendez-vous avec Dyns, blogueuse émérite du site Street Luxe.
Amandine (Dyns) est une jeune femme passionnée de mode qui a créé son blog il y a quelques années afin d’y parler de mode donc, mais aussi de tendance, de gadget ou encore de sa vie personnelle. Nous avions mis plusieurs semaines (pour ne pas dire des mois) afin de trouver un créneau pour nous rencontrer car il faut savoir qu’Amandine est ministre. Tout du moins c’est ce que je pensais mais en fait non, elle n’est pas ministre mais elle a quasiment les mêmes horaires, car son métier est Community Manager. Alors si comme moi ce job ne vous dit absolument rien je vous conseille l’excellent article de Fadhila Brahimi à ce propos, vous comprendrez alors pourquoi un community manager est une personne très occupée.

Nous avions rendez-vous dans le quartier St Georges, lieu hautement prisé dans le IXe arrondissement où il fait bon bruncher le dimanche après-midi. J’étais pas mal en avance, suite au conejo, je décidais donc de me rendre directement au lieu de rendez-vous. Vous aurez deviné qu’une fois n’est pas coutume, nous n’avions pas choisi de Starbuck pour cette première rencontre.
20h30, SMS de Dyns : “je vais être en retard, trop de boulot, désolé…!”.
Moi : “Euh, en retard beaucoup ?”.
Amandine : “20 minutes environ…”.
Moi : “On mange ensemble ?”.
Dyns : “Non je ne mange pas le soir !”.
Ok, c’était donc écrit, c’était ma soirée. Je dînais donc seul en terrasse, entouré de personnes en after work, de filles en soirée girls only, de bobos sirotant des coktails… Autant j’adore aller au cinéma seul, autant dîner seul c’est déjà moins mon truc.
21h20, soit 20min précisemment après l’heure initiale de notre rendez-vous, Dyns arrivait. Brune, grande, silhouette élancée, Amandine était de fait une fille qui aimait la mode : je repérais immédiatement ses chaussures, que j’avais déjà aperçu au détour d’un billet sur un blog fashion. Je me levais pour l’accueillir et Dyns était effectivement assez grande (lire “plus grande que moi”).

ChardonnayAmandine commanda un Bree Van de Kamp et nous commençâmes notre discussion au sujet de la blogosphère et de Portraits de blogueuses. Dyns m’expliquait le quotidien d’un community manager et je découvrais un métier certes très riche, mais aussi très délicat car il faut savoir travailler vite tout en étant vraiment polyvalent (comprendre “être disponible au bureau mais aussi sur le terrain”). Et pour couronner l’ensemble, il ne faut pas trop compter ses heures. Je comprenais mieux pourquoi Amandine était si prise, et je me demandais comment elle trouvait le temps de tenir son blog…
Dyns est un personnage complexe. Ca se ressent dans ses billets mais en discutant avec elle je pouvais deviner que derrière cette parisienne à mèche (sera-t-elle aussi dans Parisienne à frange, Parisienne à mèche…?) se cachait une jeune femme quelque peu torturée et comme elle le dit elle-même sur son blog, complètement déjantée. Dans la monde de la blogosphère féminine, elle joue un peu le rôle de l’électron libre, virevoltant deci delà sans se soucier de ce qu’en diront les autres. Et il faut avouer que ça lui réussit plutôt bien ! Il faudrait juste qu’elle arrive à lever un peu le pied au niveau de son boulot car à ce rythme il lui faudra autre chose que du Bree Van de Kamp pour tenir (private joke suite à un de ces Tweet…).

J’étais finalement très content de ma soirée. Faire le portrait de Dyns ne sera pas chose aisée car il va me falloir trouver le moyen de faire ressortir sa forte personnalité sans tomber dans les stéréotypes… Mais étant donné que j’adore les challenges, il me tarde déjà !

5 commentaires suite...

-->